Mais quelle semaine chiante! Et longue!

C'est simple, depuis mercredi je me croyais vendredi.... La semaine a été rythmé de coup de gueule de la part de la direction (il était temps...), de cours sans queue ni tête, des formateurs qui se font la guéguerre (oui même eux), par des p'tis cons qui viennent te voir "il parait que t'es pistonné que t'as pas à faire tous les stages, alors j'aimerais bien savoir pourquoi parce que moi avec l'expérience que j'ai j'ai demandé à être exempté et on m'a dit non" s'ils savaient... (passe sous le bureau du directeur pour essayer :p), par une petite conne de gamine qui m'est rentrée dedans hier avec un grand coup dans les seins et enfin par une télé dans la chambre qui s'allume toute seule dans la nuit avec le son à fond (2 fois!!! Imaginez le speed!!!).

Mais vous savez quoi? Je suis en VACANCES. Oui pour au moins 15 jours voire 4 semaines si mon chirurgien préfère attendre mon stage de mi janvier. Je vais me REPOSER. Les salops de microbes étant toujours en moi, faut que je prenne les choses en mains.

Et au fait, dans 5 jours c'est l'anniversaire de ma puce, de ma princesse!!! (et celui de beau-papa le jour d'avant). 8 ans. Chaque année je m'affole du temps qui passe si vite. Ma fille est belle, vive, épanouie, travaille bien à l'école, a un caractère de chiotte (oui les chiottes ont un caractère...). Je suis fière d'elle. C'était pas gagné d'avance cet équilibre il y a quelques années. J'étais sévère avec elle, je la voulais tellement parfaite, je voulais comment dire.... Je l'ai eu jeune (enfin il paraît....) et je voulais pas qu'on me reproche que ma fille était mal élevée, que je m'en occupais mal. Du coup, la pauvre, je lui passais rien (rassurez-vous mademoiselle n'a pris que 2 fessées dans sa vie), je la reprenais sur tout "s'il te plait, merci, on chouine pas dans le bus ni dans les magasins....". Ma mère, pourtant si sévère avec nous enfant, m'a freinée. Elle m'a fait me rendre compte que la petite ne différenciait même plus de quand je lui parlais de quand je "l'engueulelais". Je parlais fort tout le temps sur le ton du reproche. Puis avec l'arrivée du Chéri, je me suis calmée. Lui aurait tendance à être un peu comme moi avant. Mais lui c'est normal, il veut bien faire, ne pas se tromper, ne pas se faire reprocher d'avoir fait quelque chose de travers. Elever un enfant qui n'est pas le sien est si dur, si compliqué. Et moi je tamporise. Mais ça y est, on a trouvé notre équilibre, notre petite vie à tous les 3 (j'étais pas partie pour raconter tout ça en fait).

Allez bon week-end!